Temple d'Aand asian elephant, trésors du Cambodgengkor Wat

L’histoire de trésors du Cambodge

Trésors du Cambodge est bien plus qu’une entreprise : c’est l’aboutissement de plusieurs années de recherche, de découvertes, d’introspection et de voyages initiatiques.

Mon parcours de vie est atypique. Il y a une quinzaine d’années, j’ai découvert que j’avais la capacité de soulager certaines douleurs avec mes mains. C’est ainsi que je suis devenu magnétiseur. Curieux de nature et toujours désireux de progresser pour mieux accompagner mes patients, j’ai très vite ressenti qu’il me manquait un outil… quelque chose de plus, pour aller plus loin dans l’accompagnement.

Cette quête m’a naturellement conduit vers les plantes médicinales. J’ai commencé à les étudier, à les expérimenter, avec l’envie de créer un baume véritablement efficace, à la fois simple et puissant. À cette époque, je gérais une boutique en ligne baptisée Terre et Lumière. Mais au fil du temps, je me suis éloigné de ma véritable essence, en proposant des produits qui ne résonnaient plus avec moi. J’ai donc pris la décision d’arrêter cette activité en 2023.

En mai 2024, une voix intérieure m’a soufflé qu’il était temps de partir. Pas pour un simple voyage, mais pour un véritable pèlerinage. Je me suis envolé pour l’Asie, sans plan défini, simplement à l’écoute de ce que la vie allait m’offrir. Après un passage en Thaïlande, un impératif de visa m’a poussé à faire un détour par le Cambodge… pour seulement quelques jours. C’est du moins ce que je croyais.

Mais la vie en avait décidé autrement : ce pays m’a profondément touché. J’y suis resté plusieurs mois.

Avant de quitter la Thaïlande, j’avais commencé à magnétiser quelques personnes et mis au point une huile de soin que j’ai offerte à mes amis sur place. Au Cambodge, une rencontre déterminante a marqué un tournant : une personne m’a parlé de préparations traditionnelles à base de plantes, utilisées depuis des générations. Intrigué, j’ai commencé à arpenter les marchés locaux, à chercher, à sentir, à observer… jusqu’à trouver ce que je cherchais.

Je connaissais déjà les vertus du curcuma, mais je savais qu’il devait être associé au poivre pour révéler tout son potentiel. Et là, le destin m’a mené à une évidence : le Cambodge est le berceau du meilleur poivre au monde, celui de Kampot. Frais, puissant, riche en pipérine – le principe actif qui permet au curcuma d’être mieux assimilé par l’organisme – ce poivre est un véritable trésor naturel.

Je pensais jusqu’alors que le curcuma provenait uniquement d’Inde, et j’ai été surpris d’en voir de grandes quantités sur les étals du marché cambodgien que je fréquentais. En m’attardant davantage, j’ai remarqué des bocaux contenant une préparation jaune. Les femmes khmères l’appellent simplement “yellow oil” – une huile à base de gingembre utilisée pour leurs soins de la peau. J’étais sur la bonne voie…

En explorant davantage, j’ai aussi découvert de la cannelle cambodgienne, une autre surprise. Et j’ai aussi passé quelques temps dans la région de Mondolkiri, là où est produit le café cambodgien.

Tout semblait s’aligner. J’avais enfin réuni les plantes : curcuma, gingembre, poivre de Kampot, cannelle et café. Il ne me manquait plus qu’un support pour les assembler.

Je savais que ces plantes étaient difficiles à assimiler seules, mais qu’elles étaient liposolubles : elles se dissolvent dans l’huile. Il me fallait donc une huile produite localement, naturelle, et aux vertus complémentaires. Le déclic est arrivé un matin, simplement, devant un étal rempli de noix de coco fraîches. L’huile de coco ! Bienfaits multiples, texture parfaite, locale… c’était l’ingrédient manquant.

Restait à trouver un producteur. Je suis retourné au marché avec une simple photo d’une bouteille d’huile de coco, car peu de gens parlent anglais là où je me trouvais. Une femme m’a répondu en souriant : « Va derrière mon stand ». Et là, derrière l’étal, j’ai découvert un petit atelier où l’on ouvrait des noix de coco à la main. Ils produisaient leur propre huile. J’avais trouvé ma source.

À ce moment précis, tout était réuni : les plantes, l’huile, l’inspiration, l’énergie. J’ai commencé à élaborer mon premier baume, avec la simplicité et la sincérité de celui qui a suivi son intuition. C’est ainsi qu’est né le Baume du Pèlerin – un soin artisanal, à base d’ingrédients nobles, porteur de mon histoire et de celle des terres qui l’ont vu naître.

Depuis, je suis rentré en France… mais le Cambodge ne m’a pas quitté. J’envisage d’y retourner prochainement pour m’y installer durablement, cultiver moi-même les plantes que j’utilise, et produire sur place notre propre huile de coco. L’objectif est clair : créer des baumes authentiques, efficaces, et profondément enracinés dans les traditions et la terre cambodgienne

Ce que ce pays m’a apporté, je vais tenter de lui rendre en retour:

La majeure partie des bénéfices engendré par cette activité sera utilisée afin de soutenir la population locale dans des projets liés à l’éducation.

Merci pour votre attention; j’espère que nos produits vous plairont!

Amicalement.

Christophe Loiseau.